L’Union Bancaire Privée («UBP») annonce avoir conclu un accord de partenariat avec un leader américain de la gestion d’actifs. Basée à Baltimore, la société Adams Funds gérera – pour le compte d’UBP Asset Management – une stratégie centrée spécifiquement sur les actions américaines de petite capitalisation. Avec ce nouveau partenariat, l’UBP démontre sa volonté d’élargir constamment son offre en s’appuyant sur les meilleurs experts.
Fondée en 1929, la société Adams Funds gère actuellement plus d’USD 2 milliards d’actifs en fonds actions «long-only». Elle est l’une des plus anciennes sociétés cotées à la Bourse de New York; son fonds Adams Diversified Equity Fund (ADX) est l’un des cinq fonds fermés («closed-end») dont la gestion est opérée de façon continue depuis 1929.
Le fonds UBAM - Adams US Small Cap Equity repose sur un processus d’évaluation systématique, combiné à une analyse fondamentale très approfondie du marché et des sociétés. Cette approche vise à identifier les opportunités d’investissement les plus attrayantes, tout en maintenant une neutralité sectorielle et soussectorielle. Le fonds sera composé de 115 à 130 titres, avec un horizon d’investissement de 12 à 18 mois en moyenne.
L’équipe d’investissement, dirigée par Mark Stoeckle, possède 28 ans d’expérience combinée et a démontré, par le passé, sa capacité à générer, à long terme, de la surperformance ajustée au risque. Avant de rejoindre Adams Funds, Mark Stoeckle et son équipe ont géré conjointement des portefeuilles de petites capitalisations pendant plus de dix ans chez BNP Paribas.
Nicolas Faller, Co-CEO d’UBP Asset Management, déclare à cette occasion:
«Nous sommes ravis d’annoncer ce nouveau partenariat. Il reflète notre engagement continu à renforcer nos capacités d’asset management, en permettant à nos clients d’accéder à des spécialistes de talent, en mesure de générer de la performance sur le long terme. Les Etats-Unis constituent un marché central pour les investisseurs, le segment des petites capitalisations offrant de la diversification et un réel potentiel.
La forte dynamique outre-Atlantique aura, selon nous, une incidence très positive, et durable, sur les sociétés américaines, en particulier celles qui réalisent la majeure partie de leurs bénéfices sur le marché intérieur.»